A propos

Nous passons tous notre vie à régler des problèmes. Généralement on s’en sort plutôt bien même si parfois c'est un peu compliqué. Cependant, il arrive que certaines difficultés persistent malgré les multiples efforts que nous pouvons déployer. Lorsque suite à un évènement, ou à une accumulation d'évènements, on ne trouve pas d’issue, alors apparaissent ce que l’on appelle les troubles. Ces perturbations dans l’équilibre des fonctions psychiques sont le lot de tout un chacun. Elles sont inévitables au même titre  que  les  troubles  physiques.  Notre  culture  occidentale  matérialiste a

tendance à privilégier le concret de la matière à l'abstrait de la non-matière, mais n’est-ce pas dans l’immatérialité de l'entendement que se forment les projets, que naissent les désirs, que sont prises les décisions ? Mais aussi que surgissent les contrariétés, les frustrations, les déceptions, la tristesse ? On comprend alors que notre psyché est en demande d’attention et de soins au même titre que le corps.

Nous passons tous notre vie à régler des problèmes. Généralement on s’en sort plutôt bien même si parfois c'est un peu compliqué. Cependant, il arrive que certaines difficultés persistent malgré les multiples efforts que nous pouvons déployer. Lorsque suite à un évènement, ou à une accumulation d'évènements, on ne trouve pas d’issue, alors apparaissent ce que l’on appelle les troubles. Ces perturbations dans l’équilibre des fonctions psychiques sont le lot de tout un chacun. Elles sont inévitables au même titre que les troubles physiques. Notre culture occidentale matérialiste a tendance à privilégier le concret de la matière à l'abstrait de la non-matière, mais n’est-ce pas dans l’immatérialité de l'entendement que se forment les projets, que naissent les désirs, que sont prises les décisions ? Mais aussi que surgissent les contrariétés, les frustrations, les déceptions, la tristesse ? On comprend alors que notre psyché est en demande d’attention et de soins au même titre que le corps.

Les troubles psychiques se soignent. Sur le plan purement thérapeutique, une dépression pourrait se comparer à une bronchite qui, si elle n'est pas traitée, a toutes les chances de devenir chronique. Dans les deux cas (dépression ou bronchite), si l'on intervient à temps les troubles diminuent rapidement. Lorsqu’il s’agit de soins médicaux nous sommes généralement assez confiants car nous avons tous quelques notions de médecine. Internet est aussi un bon moyen de s’informer. Avec les soins dentaires cela se complique un peu car à part les caries on n’y connaît pas grand chose. Mais lorsqu’on en vient aux soins de l’âme, la plupart d'entre nous se trouvent désemparés du fait d'un manque de connaissance des disciplines thérapeutiques. Psy-chothérapeute, psy-chopraticien, psy-chanalyste, psy-chiatre… Rares sont ceux qui en connaissent la fonction et la définition exacte. Ceci expliquant cela on comprend qu'il existe tant de mythes, de fausses croyances et de craintes liées à un domaine perçu bien trop souvent comme énigmatique. La croyance erronée la plus fréquente est la suivante : « Pourquoi irais-je voir un psy ? Je ne suis pas fou ! »  On  ne  consulte pas un psy parce qu'on est fou mais

parce qu'on se trouve dans une impasse, au même titre que l'on ne consulte pas un médecin parce qu'on est incurable mais parce que la gestion  des symptômes dépasse notre savoir-faire. Le psy n’est pas un sorcier, il est bien plutôt un « ostéopathe » de l’âme. Avec votre aide, il va repérer les nœuds, assouplir le contexte et le moment venu, « clac! » Se débloquent les nœuds conflictuels intrapsychiques. Il est crucial de comprendre que mis à part quelques très rares exceptions, les diagnostics sont réversibles. Et s'il est tout à fait normal de boiter lorsque l’on s’est fait une entorse, cela vaut également pour la psyché.

Les troubles psychiques se soignent. Sur le plan purement thérapeutique, une dépression pourrait se comparer à une bronchite qui, si elle n'est pas traitée, a toute les chances de devenir chronique. Dans les deux cas (dépression ou bronchite), si l'on intervient à temps les troubles diminuent rapidement. Lorsqu’il s’agit de soins médicaux nous sommes généralement assez confiants car nous avons tous quelques notions de médecine. Internet est aussi un bon moyen de s’informer. Avec les soins dentaires cela se complique un peu car à part les caries on n’y connaît pas grand chose. Mais lorsqu’on en vient aux soins de l’âme, la plupart d'entre nous se trouvent désemparés du fait d'un manque de connaissance des discipline thérapeutique. Psy-chothérapeute, psy-chopraticien, psy-chanalyste, psy-chiatre… Rares sont ceux qui en connaissent la fonction et la définition exacte. Ceci expliquant cela on comprend qu'il existe tant de mythes, de fausses croyances et de craintes liées à un domaine perçu bien trop souvent comme énigmatique. La croyance erronée la plus fréquente est la suivante : « Pourquoi irais-je voir un psy ? Je ne suis pas fou ! » On ne consulte pas un psy parce qu'on est fou mais parce qu'on se trouve dans une impasse, au même titre que que l'on ne consulte pas un médecin parce qu'on est incurable mais parce que la gestion des symptômes dépasse notre savoir-faire. Le psy n’est pas un sorcier, il est bien plutôt un « ostéopathe » de l’âme. Avec votre aide, il va repérer les nœuds, assouplir le contexte et le moment venu, « clac! » Se débloquent les nœuds conflictuels intrapsychiques. Il est crucial de comprendre que mis à part quelques très rares exceptions, les diagnostics sont réversibles. Et s'il est tout à fait normal de boiter lorsque l’on s’est fait une entorse, cela vaut également pour la psyché.